Quel contraste entre.ces tristes babitations et les . oiai'sons allemandes de la vallèe de l’Inn, du Puster- thal, du Vorarlberg, avec leurs corps de logis en avance, leurs galeries, leurs balcons, leurs orne- ments architectoniques, et lepignon altier qui leur donne un air aussi imposant que pittoresque ! Entrez dans une de ces demeures : de chaque coté du cor- ridor ou Lahn sont disposées la salle commune, la cuisine, les chambres à coucher; une seule de ces pièces, d’ordinaire, est à leu
, le fenil, au lieu d’ètre à la droite ou à la gaucbe du logis, est un peu. en arcière, et constitue une sorte d’annexe où Fon accède, de la labri, par une porte dpnnant sur l’aire. Les plus belles habitations rustiques de ce genre se trouvent dans les fertiles districta de Finn infé- rieur; plus on s’avance en amont, au contraire, plus les fermes se montrent pauvres et petiles. Dans le Vorarlberg, les grandes bàtisses sont, on s’en sou- vient, superbes à voir, bien aménagées, avec des cloisonnages