lacets au revers du mont. ön sent, à mesufe qu’on avance, que Fair fraichit d’une manière sensible. A. la fin de Fautomne et en hiver, il n’est pas rare qu’il y ait ici des tourbillons de neige ; mais regar- dez là-bas ce large pan de ciel qui brille par delà le Brenner : c’est comme Fécusson azuré de la loin- taine Italie. Si Fauberge-poste du plateau, où s’arrétaìent ja- dis les diligences, ne fut jamais qu’une assez pauvre hòtellerie, en revanche le plateau lui-mème, avec sön petit Iac, ses
de Brennerbad, localité balnéaire dont les eaux, comme celiés de Gastein, soni surtOut recherchées des rhumatisanis; puis la voie, s’inclinant dàvan- tagé, entrè dans la vallèe de I’Eisaek, le grand affluent de gauche de l’Adige, póur se replier. à Faide d’un tunnel du coté de Gossensass, böürg d’un millier d’habitants, sìs déjà à cent quàtre-vingts mètres plus bas qwe le Brenner. Ge défilé de Gos- 1 On désigne darre les Alpes sous le nom de kulm tout sommet aplati ( Righi-kulm ).