ment de fourrage, ce que aussi les autorités civiles ne purent me fournir avec la meilleure volonté du inonde, vu que les insurgés ne lais sèrent rien entrer en ville, cela me détermina à me retirer. Je fis commencer le mouvement à onze heures du soir... À quoi je dois obser ver que l’ennemi n’ayant pas aperçu mon dé part ne m’inquiéta pas la nuit, ni le matin du 30, mais ayant dû faire, dans la plaine de Schwaz, une longue halte pour attendre la colonne des voitures delà réserve
de l’artillerie et des équipages, qui ne put filer que très lentement,.», je fus pour lors de mon départ de Schwaz continuellement fusillé, si bien des montagnes à gauche, que où cela peut avoir lieu de la rive droite de Flnn, et quoique mes tirailleurs parvinrent toujours à faire retirer F ennemi, cela ne laissa de tuer et de blesser des hommes, si bien soldats, cavaliers, que voituriers et domestiques, et des chevaux. Entre les tués se trouve le lieutenant-colonel de Gunther, ayant voulu reconnaître le pont