Histoire et description de la Suisse et du Tyrol.- (¬L'¬univers, ou histoire et description de tous les peuples, de leurs religions, moeurs, coutumes, etc. ; [1],3)
porter de dommage à des villes et à des cantons avec lesquels on avait jus que-là vécu en bonneharmonie. Chain, l’un des députés de Zurich, lut un récit des malheurs de la patrie. L’empereur prix à Seckingen avec une maîtresse. Thomas, sur les instigations de la no blesse, résolut de tenter un coup de main, pour la réussite duquel tous les moyens seraient bons. Les Falkenstein renouvela ses instances : tout ce qu’il avaient droit de bourgeoisie à Brugk; " ^ — —ii s y étaient accueillis avec
le château de Schenkenberg pouvait inquiéter beaucoup la marche de leurs troupes, soit sur Laufenbourg, soit sur Zurich, Ils chassèrent donc Baldeck, puis, sur la prière de l’évêque de Bâle, ils le rétablirent; mais Baldeck, au lieu d’en être reconnaissant, ne cessait de se plaindre qu’à lui seul, de tous les seigneurs, il ne fût plus permis de faire la guerre aux Bernois. Chez lui se trouvaient son frère, Jean de Bal deck et Thomas de Falkenstein, au trefois gendre de Jean. Les Falken- été sous
serments, qui l’avaient honoré, aimé, quand Rechberg lui re _ proeba sa cruauté. Les campagnes stein .......— Berne : ils étaient d’une très-antique s’armèrent pour venger Brugk et noblesse, possédaient beaucoup de châ- oppresseurs y mirentle feu .'les’portes -- - -- teaux, et Thomas était landgrave de la Sisgovie. Blais l’un et l’autre étaient capables des plus folles entreprises. J ean avait engagé à l’Autriche son château en étaient fermées , toute la population allait périr. Les cris des femmes